Que ce soit pour les individus ou les organisations, ces principaux biais influencent notre décision de poursuivre ou non les objectifs de changement.
Ils nous incitent à accorder plus de valeur aux choses plus familières, aux taches où l’on a investi beaucoup de temps et d’énergie grâce à l’aversion de la perte par exemple et à empêchement des actions irréversibles.